Salvador
Le Salvador ou l'El Salvador, en forme longue la République du Salvador ou la République d'El Salvador, en espagnol El Salvador et República de El Salvador, est un pays d'Amérique centrale, entre le Guatemala et le Honduras.
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República de El Salvador (es) | |||||
République du Salvador (fr) | |||||
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Devise nationale : Dios, Unión, Libertad (espagnol : «Dieu, union, liberté») |
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Langue officielle | Espagnol | ||||
Capitale | San Salvador 13° 40′ N, 89° 10′ O |
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Plus grande ville | San Salvador, Santa Ana et San Miguel | ||||
Forme de l'État | République | ||||
- Président | Mauricio Funes | ||||
Superficie - Totale - Eau (%) |
Classé 147e 21 040 km2 1, 5 % |
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Population - Totale (2008) - Densité |
Classé 97e 7 066 403 hab. 330 hab. /km2 |
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Indépendance - De l'Espagne - Des Provinces unies d'Amérique centrale |
15 septembre 1821 1842 |
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Gentilé | Salvadorien (ne)
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IDH (2006) | 0, 722 (moyen) (101e) | ||||
Monnaie | Dollar américain (Colones ) |
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Fuseau horaire | UTC -6 | ||||
Hymne national | Hymne national du Salvador | ||||
Domaine internet | . sv | ||||
Indicatif téléphonique |
+503
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Le Salvador ou l'El Salvador, en forme longue la République du Salvador ou la République d'El Salvador, en espagnol El Salvador et República de El Salvador, est un pays d'Amérique centrale, entre le Guatemala et le Honduras. Le pays compte à peu près 7 millions d'habitants et occupe une superficie de 21 041 km².
Histoire
Époque Précolombienne
Avant l'arrivée des espagnols l'actuel territoire salvadorien était habité par différentes ethnies amérindiennes dont les cultures étaient influencées par les mayas. Les pipils, d'origine nahuatl, occupaient la partie occidentale du territoire tandis que les lencas vivaient dans la partie orientale du futur pays.
A l'arrivée des conquistadors espagnols, le royaume de Cuzcatlan était la principale entité politique de la région.
La conquête espagnole, l'époque coloniale et l'indépendance
Après plusieurs tentatives de conquête par Pedro de Alvarado entre 1524 et 1526, c'est son frère, Diego de Alvarado, qui installe définitivement la domination espagnole sur la partie occidentale et centrale du territoire salvadorien en 1528. A l'est , la résistance lenca est vaincue en 1537.
En 1535, le territoire est intégré à la Nouvelle-Espagne, puis à la Capitainerie générale du Guatemala (ou Royaume de Guatemala) en 1540. Il est lui-même divisé entre la municipalité (ou Intendance) de San Salvador et la municipalité de Sonsonate.
Comme dans le reste des colonies espagnoles, une politique d'évangélisation des populations amérindiennes est menée. En 1540, le dispositif d'encomiendas est abandonné et l'esclavage des indiens aboli. La région est en premier lieu productrice de cacao avant de se spécialiser dans l'indigo au XVIIe siècle.
Le «Premier cri de l'indépendance» d'Amérique centrale est clamé à San Salvador en 1811. La ville connaît plusieurs autres soulèvements les années suivantes mais le Royaume de Guatemala déclare définitivement son indépendance le 15 septembre 1821.
La République fédérale d'Amérique centrale
En 1814, les différentes municipalités d'Amérique centrale votent l'annexion de la région à l'Empire mexicain à l'exception de San Salvador. Le temps que des troupes mexicaines viennent soumettre San Salvador à la nouvelle domination, l'Empire s'effondre et les Provinces unies d'Amérique centrale proclament leurs indépendances vis-à-vis de toute domination étrangère en 1823.
En 1824, la municipalité de Sonsonate et l'Intendance de San Salvador s'unissent pour former l'État d'El Salvador, membre de la République fédérale d'Amérique centrale. Le Salvador participe alors activement aux divers combats entre conservateurs et libéraux qui mèneront à la fin de la fédération.
En 1841, l'assemblée constituante proclame la séparation du Salvador de la République fédérale et la création de la République indépendante et souveraine d'El Salvador.
Les débuts de la République du Salvador
Les luttes entre conservateurs et libéraux continuent jusqu'au début du XXe siècle, c'est une période de guerre civile et de guerre contre les autres pays centre-américains quasi-permanente. Cependant, le pays s'unit à ces voisins pour défendre l'intégrité de l'Amérique centrale contre William Walker.
Avec l'introduction du café dans le pays dans les années 1860, une «république caféière» s'installe facilitant les intérêts des propriétaire terriens et de l'oligarchie surnommée les «14 familles».
L'autoritarisme militaire
En 1931, le général Maximiliano Hernández Martínez arrive au pouvoir après un coup d'État. Suite à la crise de 1929, le prix du café chute et une révolte paysanne éclate dans l'ouest du Salvador en 1932. Martínez réprime ce soulèvement qu'il considère comme «révolution bolchévique» et entre 7 000 et 30 000 paysans indiens sont tués mais aussi le leader communiste Farabundo Martí.
Martínez mène en premier lieu une politique fascisante, il se rapproche de l'Allemagne nazie, mais les pressions américaines l'obligent à rompre ses contacts avec Hitler ainsi qu'à libéraliser le pays. Il abandonne le pouvoir en 1944 suite à une grève générale pacifiste. Se suivent ensuite différents gouvernements militaires anticommunistes.
Un bref conflit éclate entre le Salvador et le Honduras en juillet 1969 après que des rencontres de football exacerbent les tensions entre ces deux pays (voir Guerre de Cent Heures, aussi nommée «Guerre du football»).
A la fin des années 1970, les violences entre groupes paramilitaires d'extrême-droite, les groupes armés d'extrême-gauche et l'armée s'accentuèrent. Le gouvernement militaire en place est renversé en 1979 et la Junte Révolutionnaire Gouvernementale (composée de militaires progressistes et de civils démocrate-chrétiens et , au début, de gauche) prend le pouvoir pour poursuivre une politique centriste. L'extrême-droite, l'extrême-gauche et l'oligarchie refusent cette politique et les violences se poursuivent.
Le 10 octobre 1980, les groupes armés d'extrême-gauche s'unissent sous le nom de Frente Farabundo Martí de Liberación Nacional (FMLN).
La guerre civile
Le Salvador fut le théâtre d'une guerre civile sanglante (plus de 100 000 morts) pendant 12 ans, de 1980 à 1992, entre l'extrême droite représentée par l'Alianza Republicana Nacionalista (ARENA) et la guérilla marxiste du Frente Farabundo Martí de Liberación Nacional. L'archevêque Óscar Romero, qui s'était opposé aux violences tant de gauche que de droite[1], mais aussi d'autres hautes personnalités, sont assasinés par des groupes paramilitaires[2].
Pour soutenir la junte militaire en place, les États-Unis se sont engagés au côté de l'armée salvadorienne. En 1989, les jésuites de l'Universidad Centroamericana "José Simeón Cañas" (en) sont massacrés. Ce nouveau massacre conduit à mettre la pression sur le gouvernement pour engager les négociations. En 1992, les différents protagonistes de la guerre civile signent les accords de paix de Chapultepec qui mettent effectivement fin à la guerre.
En juillet 2002, un tribunal de Miami reconnut coupables José Guillermo García et Carlos Eugenio Vides Casanova, deux anciens ministres de la défense responsables des tortures menées par les escadrons de la mort durant les années 1980. Les victimes avaient en effet fait usage d'une loi américaine qui permettait de telles poursuites. Les deux anciens dirigeants furent condamnés à payer 54, 6 millions de dollars américains aux victimes.
Politique
Le Salvador est une république parlementaire.
La constitution en vigueur date de 1983, elle définit le pays comme une république démocratique et représentative.
Le pouvoir exécutif est représenté par le président de la République, le vice-président et son cabinet. Le président et le vice-président sont élus pour un mandat non renouvelable de 5 ans à la majorité absolue. Un deuxième tour est organisé quand aucun candidat n'a recueilli plus de 50 % des voix.
Le pouvoir législatif est détenu par le parlement (Assemblée Législative d'El Salvador) composée d'une seule chambre de 84 députés élus par circonscription pour un mandat de 3 ans.
Le pouvoir judiciaire est contrôlé par la Cour Suprême de Justice constituée de 15 magistrats. Son indépendance est assurée par la constitution.
Les accords de paix de 1992 ont créé la Police Nationale Civile, la Procuratie pour la Défense des Droits de l'Homme et le Tribunal Suprême Électoral et supprimé les «corps de sécurité» constitués pour combattre les guérillas au cours de la guerre, comme la Garde Nationale. Ils ont autorisé la formation en parti politique légal l'ex-opposition armée de gauche, dont le FMLN. Le rôle de l'armée a été redéfini pour la défense de la souveraineté et de l'intégrité du territoire national.
Le débat politique tourne autour du parti conservateur Alianza Republicana Nacionalista (ARENA) et du parti de gauche Frente Farabundo Martí de Liberación Nacional (FMLN, divisé entre socialistes révolutionnaires et social-démocrates). Les deux autres partis historiques sont le conservateur Partido de Conciliación Nacional (PCN) et le démocrate-chrétien Partido Demócrata Cristiano (PDC) mais ne jouent plus actuellement qu'un rôle marginal.
Le 15 mars 2009, le candidat du FMLN Mauricio Funes (ancien correspondant de CNN en espagnol) est élu président du Salvador avec 51% des voix, mettant ainsi à terme à vingt ans d'hégémonie de l'ARENA[3].
ARENA détient le plus grand nombre de députés (34), devant le FMLN (32) et le PCN (10). Il y a eu de nouvelles élections début 2009, dans la nouvelle chambre qui siègera en mai 2009, le FMLN a le plus grand nombre de députés mais pas la majorité absolue. Le FMLN détient le plus grand nombre de députés (35), devant ARENA (32), le PCN (10), le PDC (5) et le CD (1) [4].
Le Salvador envoie 20 députés au Parlement Centraméricain (Parlacen) et des députés au Parlement Latino-américain (Parlatino). A noter que l'ancienne première dame de la république d'El Salvador, Anna Ligia Mixco Sol de Saca, a reçu le 12 juin 2008 en France la distinction du Grand Prix Humanitaire de France par Albert de Smet, délégué du Grand Prix Humanitaire de France pour la Belgique, son parrain et de Jean Polles, président : étant secrétaire national de la famille pour ses œuvres humanitaires.
Le 1er juin 2009, immédiatement après la réélection du président Mauricio Funes, le Salvador renoue ses relations internationales avec Cuba. Le Salvador est le dernier pays d'Amérique centrale à reprendre le dialogue avec Cuba[réf. nécessaire].
Subdivisions
Le pays est divisé en trois zones (occidentale, centrale et orientale), 14 départements, 39 districts et 262 municipalités.
Chaque département est dirigé par un gouverneur représentant le pouvoir exécutif et appelé par le Président de la République.
Les municipalités sont dirigées par un conseil municipal élu pour trois ans par les électeurs inscrits sur les listes électorales de la circonscription.
Zone occidentale Ahuachapán Santa Ana Sonsonate |
Zone orientale Usulután San Miguel Morazán La Unión |
Zone centrale La Libertad Chalatenango Cuscatlán San Salvador La Paz Cabañas San Vicente |
Géographie
Le Salvador est le plus petit pays d'Amérique centrale, et l'unique à ne pas avoir de façade maritime sur la mer des Caraïbes.
Le pays est bordé au sud par l'océan Pacifique, à l'ouest par le Guatemala (203 km de frontière), au nord ainsi qu'à l'est par le Honduras (342 km de frontière). Au sud-est du pays se trouve le golfe de Fonseca qui le sépare du Nicaragua. Le Salvador possède trois des îles localisées dans ce golfe.
Relief
On peut découper le territoire en quatre grandes parties (du nord au sud) :
- La Sierra Madre : une chaîne de montagne longeant la frontière du Honduras, elle abrite le point culminant du pays (El Pital à 2 730 m).
- La Meseta central : un plateau central large d'une cinquantaine de kilomètres, il accueille une grande partie de la population et les plus grandes villes du pays.
- Une chaîne volcanique : 20 volcans divisés en cinq groupes sont localisés sur le territoire salvadorien. Le plus haut, le Santa Ana (ou Ilamatepec), culmine à 2 381 m. L'Izalco, constitué en 1770, fait partie des plus récents du continent américain.
- La plaine côtière : coincée entre les versants des volcans et le Pacifique, elle mesure au maximum 22 kilomètres de large.
Lacs et rivières
Le Salvador abrite trois grands lacs naturels : le lac Ilopango et le lac de Coatepeque occupant tous deux une caldeira, et le lac de Güija que le pays partage avec le Guatemala. Le lac Cerron Grande est un lac artificiel constitué après la construction d'un barrage sur le fleuve Lempa. Le pays possède aussi une grande variété de petits lacs, surtout au fond des cratères, dont le plus grand est la laguna de Olomega.
Le Lempa est le plus long fleuve du Salvador et d'Amérique centrale. Après avoir traversé le Guatemala et le Honduras, il vient se jeter sur la côte Pacifique du Salvador après un parcours de 320 km (dont 260 au Salvador). Il existe plus de 400 autres cours d'eau sur le territoire.
Climat
Le Salvador se trouve dans la zone climatique tropicale et connaît des variations de température faibles. Le mois de décembre est le plus froid (23, 8 °C), et le mois d'avril le plus chaud (32 °C) pour une température moyenne de 24 °C. La saison humide commence en mai pour se terminer en octobre. Le pays est régulièrement touché par des ouragans venant des Caraïbes entre juin et novembre.
Infrastructures
La route panaméricaine traverse le pays d'ouest en est et connecte la capitale avec le Guatemala et le Honduras. Le second axe routier longe le littoral et le troisième joint la capitale à la frontière nord (par le département de Chalatenango) ainsi qu'à la côte caraïbe du Honduras.
Il n'y a plus de transport ferroviaire pour voyageurs mais il existe un réseau ferroviaire pour les marchandises connectant les zones de productions aux ports salvadoriens et au port guatemaltèque de Puerto Barrios sur la côte caraïbe.
Les ports d'Acajutla et de La Unión sont les deux plus grands ports de commerce du pays. Depuis peu le port d'Acajutla accueille des bateaux de croisière.
Le pays est alimenté par l'aéroport international de San Salvador, (code AITA : SAL • code OACI : MSLP), localisé à 50km au sud de la capitale.
Education
L'enseignement primaire est obligatoire et dure 9 ans[5]. La majorité des enfants âgés 16 et 17 n'ont pas accès à l'enseignement secondaire[6]. Il y a plusieurs universités.
Santé
L'espérance de vie est d'environ 67 ans pour les hommes et de 75 pour les femmes[7]. L'espérance de vie en bonne santé est de 62 ans pour les femmes et de 57 ans pour les hommes (en 2003) [8]. Les dépenses pour la santé sont de 7% du PIB (en 2006) [9].
Économie
Le Salvador a adopté le dollar américain comme monnaie en 2001 à la place du colón.
Démographie
Le pays compte 6, 59 millions d'habitants dont 1, 7 million dans la capitale et 42% dans les zones rurales (2004).
90% des Salvadoriens sont des métis (Européens et autochtones), 9% blancs et 1% amérindiens.
La religion catholique romaine est la principale religion (86%) même si la religion protestante progresse particulièrement vite (environ un million de protestants en 1992).
L'espagnol est parlé par l'ensemble des habitants, cependant certains amérindiens continuent toujours à parler le nahuatl, le kekchí, et le lenca. Le kekchí est une langue maya.
En 2000, l'espérance de vie était de 69, 7 ans (66, 14 pour les hommes et 73, 52 pour les femmes). Le taux de fertilité est de 3, 38 enfants par femme (2000). Le taux d'émigration est de 4, 02 par 1000 habitants (2000).
Le Salvador est un des pays les plus dangereux au monde, avec d'avantage de 16 000 homicides depuis juin 2004. Selon la justice, plus de la moitié de ces meurtres seraient dus aux gangs spécifiquement violents qui y sévissent, les maras[10].
Culture
Musique
L'instrument national du Salvador est la Marimba et le sport national le football.
Date | Nom |
---|---|
1er janvier | Jour de l'an |
16 janvier | Signature des Accords de Paix |
8 mai | Jour de la Femme |
Mars/Avril | Pâques |
1er mai | Fête du Travail |
3 mai | Fête de la Croix |
10 mai | Fête des Mères |
17 juin | Fête des Pères |
22 juin | Fêtes des professeurs |
4, 5 et 6 Août | Fêtes d'Août |
15 septembre | Jour de l'indépendance |
1er octobre | Jour national de l'enfant |
12 octobre | Jour de la Race |
2 novembre | Toussaint |
25 décembre | Noël |
Peintures
Plusieurs artistes salvadoriens ont acquis une réputation internationale : Antonio Bonilla, Benjamin Canas, Carlos Canas, Bernabé (Bernardo) Crespin, Dagoberto Nolasco, Francisco Reyes et Rolando Reyes.
Divers
Le Salvador a pour codes :
- . sv, selon la liste des Internet TLD (Top level domain)
- ES, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2,
- ES, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques,
- ESA, selon la liste des codes pays du CIO,
- MS, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports
- SV, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2,
- SLV, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-3,
- SLV, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3,
- YS, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs.
Notes et références
- Université de Sherbrooke
- Wikipædia, Histoire du Salvador
- Maurice Lemoine, «El Salvador : des guérilleros au pouvoir», dans Le Monde diplomatique, 19 mars 2009 [ texte intégral (page consultée le 26 mars 2009) ]
- Tribunal suprême électoral
- http ://www. spainexchange. com/guide/SV-education. htm
- http ://www. unicef. org/infobycountry/elsalvador. html
- http ://www. who. int/countries/slv/en/
- http ://www. who. int/countries/slv/en/
- http ://www. who. int/countries/slv/en/
- Jean-Michel Caroit, «Le Salvador gangréné par la violence des gangs de jeunes», dans Le Monde, 27 mars 2009 [ texte intégral (page consultée le 30 mars 2009) ]
Voir aussi
Liens externes
- Catégorie Salvador de l'annuaire dmoz
- (es) Site officiel de la Présidence salvadorienne
- (es) Répertoire des sites web salvadoriens
- (es) Ministère du tourisme
- (es) Médecins au Salvador
- (es) Tribunal suprême electoral
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La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 09/11/2010.
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