Djibouti

Djibouti, en forme longue la République de Djibouti, en arabe ??????? ??????, en afar Gabuutih Ummuuno, en somali Jamhuuriyadda Jabuuti, est un pays d'Afrique de l'Est, localisé au bord de la mer Rouge.


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République de Djibouti (fr)
??????? ?????? (ar)
Gabuutih Ummuuno (aa)
Jamhuuriyadda Jabuuti (so)
Drapeau de Djibouti Armoiries de Djibouti
(Drapeau de Djibouti) (Armoiries de Djibouti)
Devise nationale  : Unité, Égalité, Paix
carte
Langue officielle Français et arabe
somali et afar (langues reconnues)
Capitale Djibouti
11°36′ N 43°10′ E
Plus grande ville Djibouti
Forme de l'État République
 - Président Ismail Omar Guelleh
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 145e
23 000 km2
Négligeable
Population
 - Totale (2010)
 - Densité
Classé 161e
833 000 hab.
21 hab. /km2
Indépendance
 - Date
de la France
27 juin 1977
Gentilé Djiboutiens, Djiboutiennes



Monnaie Franc Djibouti (DJF)
Fuseau horaire UTC +3
Hymne national
Domaine internet . dj
Indicatif
téléphonique
+253


Carte de Djibouti

Djibouti, en forme longue la République de Djibouti, en arabe ??????? ??????, en afar Gabuutih Ummuuno, en somali Jamhuuriyadda Jabuuti, est un pays d'Afrique de l'Est, localisé au bord de la mer Rouge. Il est entouré par la Somalie, l'Éthiopie et l'Érythrée. Djibouti sert à désigner à la fois le pays et sa capitale.

Histoire

Article détaillé : Histoire de Djibouti.

En mars 1862, Napoléon III signe un traité de paix et d'amitié perpétuelle, à Paris, avec les chefs Afars de la région d'Obock[1]. En échange d'une redevance, la France obtient le mouillage d'Obock et toute la superficie partant du Ras Doumeira, au nord, au Ras Ali, au sud[1].

Le 11 mars 1862, un représentants du sultan de Tadjoura, Diny Ahmed Aboubekr, signe à Paris un accord par lequel sont cédés à la France «les ports, rade et mouillage d'Obock localisés près du Cap Ras Bir avec la plaine qui couvre depuis Ras Aly au sud jusqu'à Ras Doumeirah au nord»[2]. Mais ce n'est qu'en 1884 qu"une prise de possession réelle a lieu, avec l'arrivée d'un commandant le 1er août : Léonce Lagarde. Particulièrement vite il étend ce territoire à toute la côte nord du golfe de Tadjoura[3], qui est occupée en octobre-novembre. C'est le Territoire d'Obock et dépendances. En mars 1885, un nouvel accord, avec les chefs Issas[4] met sous l'autorité française la côte sud. Il faut un partage territorial avec la Grande-Bretagne, par l'échange de notes des 2 et 9 février 1888, pour arrêter l'expansion. C'est tandis qu'est créée la ville de Djibouti, autour du port, qui devient le chef-lieu de la nouvelle «Côte française des Somalis» en 1896.

1895 : Le village compte 5 000 habitants avec comme chef de village Bourhan Bey, fils de Obakar Pacha, gouverneur de Zeila.

1898 à 1917 : Le chemin de fer Djibouti Addis-Abeba consacrera Djibouti comme porte maritime de l'Abyssinie. Entre-temps et progressivement, la ville s'est bâtie, des artisans yéménites et pakistanais construisirent ces maisons qui forment le cœur de la cité et qu'on peut admirer, conservés dans leur esthétique originelle.

1918 à 1939 : Le pays connaît un développement important. La construction du port, du chemin de fer, l'exploitation des salines permet d'utiliser à plein la main-d'œuvre. Durant la Seconde Guerre mondiale, les Anglais établissent le blocus du pays qui connaît une véritable famine. Par la suite, l'époque des grands chantiers de construction étant de toute façon terminée et la population de la ville s'accroissant de plus en plus, le chômage augmente.

1949 : Djibouti devient un port franc et on crée le franc djibouti rattaché au dollar US.

1967 : Suite à un référendum, le pays de Djibouti est nommé Territoire français des Afars et des Issas (TFAI) et ses structures gouvernementales modifiées mais toujours sous la tutelle française. Une prise de conscience nationaliste se développe dans le pays, non sans heurts et difficultés, et devient bientôt irréversible. Trois noms devaient s'imposer à cette occasion : Mahmoud Harbi, Hassan Gouled et Mohamed Kamil.

1966 : Les 25 et 26 août, le général de Gaulle, chef de l'État français en visite à Djibouti est accueilli aux cris d'indépendance par la foule venue l'acclamer ; et brusquement le 26 au soir, la Légion étrangère intervient brutalement contre les manifestants, il y a plusieurs dizaines de morts et de nombreux blessés. Le général de Gaulle ne paraît pas en public et quitte Djibouti dès le lendemain. De nombreux Djiboutiens interrogés sur ces événements diront qu'il y a eu un malentendu. Selon eux, la foule était réellement venue acclamer de Gaulle qu'elle tenait en haute estime et qu'elle croyait porteur de promesses d'indépendance et toujours à l'heure actuelle personne n'en connaît les raisons.

1977 : Le 8 mai, la population djiboutienne consultée optait pour l'indépendance. Le 27 juin, elle est proclamée, donnant naissance à la République de Djibouti avec à sa tête le président Hassan Gouled Aptidon.

1992 : Instauration du multipartisme. La guerre entre le gouvernement et le Front pour la restauration de l'unité et de la démocratie (FRUD) est déclarée. Elle durera à peu près 2 ans.

En 1991, une guerre oppose le régime au pouvoir de Hassan Gouled Aptidon au FRUD, de Ahmed Dini, figure emblématique de l'opposition djiboutienne. Militairement, ce conflit ne dure pas longtemps. Dès 1994, un traité est signé entre une partie du FRUD et le gouvernement djiboutien. La partie la plus dure (appelé FRUD armé) entre dans le processus de pacification uniquement en 2001. Non seulement, cette guerre freine le développement du pays, mais elle creuse davantage le fossé entre les Afars et les Issas). Et si, économiquement, les plaies de la guerre paraissent cicatrisées, la construction d'une identité djiboutienne n'en est pas renforcée pour tout autant.

1999 : La République de Djibouti a un nouveau président Ismaël Omar Guellel.

Politique

Article détaillé : Politique de Djibouti.

Djibouti est une république depuis son indépendance de la France en 1977, elle organise ses premières élections législatives et élection présidentielles en 1981.

Elle suit le principe de séparation des pouvoirs : législatif, exécutif et judiciaire.

Subdivisions

Article détaillé : Subdivisions de Djibouti.

Djibouti est subdivisé en six régions :

Région du sud

Région du nord

Géographie

Climat

Djibouti a un climat aride. Les précipitations sont rares et leur moyenne annuelle est de 147 mm. La température fluctue entre 24 °C et 35 °C en saison fraîche, et entre 39 °C et 50 °C en saison chaude.

Les saisons :

Climat et eaux douces

345 millions de m³/an est l'estimation des eaux "renouvelables (de surface et de ruissellement) " reçues, principalement en régime de crues, rapidement évaporées (dont à partir des lacs temporaires), absorbées par le sol, ou drainées vers la mer, via un dispositif hydrographique divisé en deux bassin, l'un orienté vers la mer rouge ou le golfe d'Aden (45 %) et l'autre vers les plaines de l'ouest du pays (55 %). Ces eaux de surface sont faiblement exploitées par les communautés rurales (citernes, petits barrages sur les impluviums, mais devraient l'être plus dans le futur à cause de la régression et dégradation des eaux de nappes. Une Direction des Grands Travaux créée en 2007 au sein du Ministère chargé de l'Agriculture et des Ressources Hydrauliques doit y contribuer (son premier chantier a été celui de la restauration du barrage en terre de Kourtimaley en région d'Arta. Le second est le barrage de l'oued Hamboukto qui doit en dériver les crues vers une dépression voisine. Un troisième projet est une retenue de 10 000 m³ (sur le plateau de Digri, région d'Ali Sabieh) [5].

Économie

Article détaillé : Économie de Djibouti.

L'économie djiboutienne est particulièrement beaucoup dépendante de son secteur tertiaire (82 % du PIB), l'État est le principal employeur dans le pays (est . 2000).

Le pays est pauvre en industrie (15 % du PIB) et en particulier en agriculture (3 % uniquement du PIB), ce qui contribue à un fort taux de chômage (50 % des actifs). Djibouti s'approvisionne en biens auprès de ses voisins éthiopiens, somaliens et yéménites. Et, dans une moindre mesure, de la France. Le pays connaît cependant ces derniers temps un changement de conjoncture économique dû à des facteurs exogènes, dont la venue des soldats américains qui participent à la création d'emplois, ainsi qu'à l'arrivée de nouvelles banques.

Démographie

Article détaillé : Démographie de Djibouti.

Selon les résultats préliminaires du récensement de 2009, la République de Djibouti compte à peu près 818 159 habitants. La ville de Djibouti même concentrerait 475 350 habitants (soit à peu près 58 % de la population du pays). Elle se répartit en plusieurs composantes humaines : les Afars, les Somalis et les Arabes, surtout musulmans et habituellement rattachés au groupe anthropologique des Chamites. On les appelle «Chamites orientaux» pour les distinguer des autres que sont les Égyptiens et les Berbères.

Le français et l'arabe sont les deux langues officielles. Le somali et l'afar sont fréquemment parlés.

Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

Recherche et enseignement supérieur

Djibouti dispose d'une université (Université de Djibouti), d'un centre de recherche national (Centre d'Etudes et de Recherche de Djibouti, CERD) et un laboratoire de recherche sur les maladies génétiques.

Santé

Les régions reculées ont un faible accès au dispositif de soins, et le pays doit faire face aux diverses maladies tropicales

Une réforme du secteur de la santé a été entreprise, avec une loi cadre d'orientation de la politique de santé, et un cadre stratégique 2001-2011 ainsi qu'un Plan National de Développement Sanitaire 2002-2006.

Selon Abdallah Abdillahi Miguil, ministre de la santé, le Centre de formation du personnel de santé va être transformé en un Institut de formation des cadres de la santé (fin 2006 ?), et une faculté de médecine est prévue à Djibouti pour 2007.

Des projets concernent aussi des hôpitaux régionaux, un laboratoire de référence national, et un grand hôpital spécialisé dans la prise en charge de la Tuberculose.

Mi-2006, la Banque mondiale prolonge pour cinq ans, le financement du Projet de développement du secteur de la santé (PDSS) et du projet de Lutte Intersectoriel contre le sida (PLSPT).

Une conférence régionale VIH/SIDA Vulnérabilité des populations en mobilité s'est tenue à Djibouti, du 29 juin au 2 juillet 2006. Une coopération sud-sud avec le Maroc est prévue permettant d'envoyer des étudiants djiboutiens en faculté de médecine au Maroc.

Depuis son installation en 2002, l'armée américaine concède ses hopitaux militaires aux soins de personnalités djiboutiennes. On note aussi la présence de l'USAID depuis 2003.

L'année 2006 est marquée par un cas humain de grippe aviaire, annoncé le jeudi 11 mai 2006 par Abdallah Abdillahi Miguil, ministre de la Santé, annonce faite suite à un prélèvement effectué le 27 avril 2006. Le Ministre ne précise ni le nom ni l'état du malade, ni son origine ni le lieu d'hospitalisation. D'autre part, selon la presse, trois poules domestiques sont affectées par le virus. Les tests de laboratoire sont effectués par le centre égyptien de collaboration de l'OMS, le laboratoire de référence de NAMRU III au Caire.

Un autre fait marquant de Djibouti est la consommation excessive du khat, drogue douce venant l'ensemble des midis par voie aérienne des hauts plateaux éthiopiens. Les consommateurs, essentiellement les hommes, mâchent le khat jusqu'au soir, qui les met dans un état d'excitation temporaire avant de provoquer une lourde somnolence. Cette fureur locale qu'est le khat autorise l'état une rentrée d'argent à travers les impôts mais également une sortie de devises non négligeable.

Culture

Article détaillé : Culture de Djibouti.
Fêtes et jours fériés
Date Nom français Remarques
27 juin Fête nationale Commémoration du jour de l'Indépendance

Présence étrangère

Outre la présence de nombreuses ambassades dans le pays, Djibouti accueille aussi des unités militaires françaises, allemandes et américaines, ainsi qu'une minorité de soldats japonais. Quoique le président soit «pro-Américain», leur présence dans le pays est controversée, du fait qu'on redoute des attentats terroristes sur le territoire. Les États-Unis n'ont qu'une présence militaire et diplomatique, et les familles des soldats restent généralement aux États-Unis. Pour les Américains, Djibouti, pays en paix, se situe en " zone de combat ", tout comme l'Irak ou l'Afghanistan. Les attentats contre les ambassades des États-Unis à Nairobi (Kenya) ainsi qu'à Dar es-Salaam (Tanzanie) en 1998, mais aussi l'attaque du destroyer «USS Cole» dans le port d'Aden en 2000, ont conduit l'administration américaine à ouvrir une importante base militaire à Djibouti en 2002 pour surveiller le détroit de Bab-el-Mandeb.

La France possède d'importantes infrastructures militaires à Djibouti dont la Base aérienne 188 qui accueille les Mirage 2000C et 2000D de l'Escadron de Chasse 03.011 CORSE mais aussi le 5e Régiment interarmes d'outre-mer (5e RIAOM), la 13e Demi-brigade de Légion étrangère, un détachement des commandos marine et anciennement le 10°BCS et de nombreux services communs. L'armée de terre compte à Djibouti le Centre d'entraînement au combat d'Arta Plage mais aussi le Centre d'aguerrissement et d'instruction au désert de Djibouti.

Le système militaire français compte 2 900 soldats, 10 avions de combat Mirage 2000 et une dizaine d'hélicoptères [6]. Paris a annoncé le renforcement du système militaire à Djibouti en juin 2008, entre autres en envoyant des avions de patrouille maritime Atlantique-2 et des Mirages pour surveiller les frontières, ainsi qu'une force navale [6].

Dans le même temps, depuis des décennies, la France, continue à apporter une aide économique au pays, et a créé de nombreuses infrastructures, dont le lycée français Joseph Kessel dans le centre de Djibouti en 1991.

Le 11 décembre 2002, le secrétaire d'État à la défense Donald Rumsfeld annonce officiellement l'installation de neuf cents soldats des forces spéciales dans une ancienne base des Troupes de marine, le camp Lemonnier   (en) . Parallèlement, la radio Voice of America commence à émettre en arabe comme en anglais. La force militaire américaine compte actuellement 1 800 soldats à Djibouti [6]. Son objectif numéro 1 est de sécuriser le détroit de Bab-el-Mandeb avec l'armée française.

La lutte contre la piraterie autour de la Corne de l'Afrique à incité plusieurs pays à utiliser Djibouti comme base logistique pour leurs flottes et en avril 2010, on annonce la construction de la première base permanente des Forces japonaises d'autodéfense à l'étranger à Djibouti. Cette base navale de 12 hectares sera opérationnelle en 2011 et accueillera 150 personnes[7]

Divers

Population : 863000 habitants (en 2010). 0-14 ans : 43, 3% ; 15-64 ans : 53% ; + 65 ans : 3, 7%
Superficie : 23000 km²
Densité : 31 hab. /km²
Frontières terrestres : 516 km (Éthiopie 349 km ; Érythrée 109 km ; Somalie 58 km)
Littoral : 314 km
Extrémités d'altitude : - 155 m > + 2 028 m
Espérance de vie des hommes : 57, 93 ans (en 2010) [8]
Espérance de vie des femmes : 62, 79 ans (en 2010) [8]
Taux de croissance de la population : 2, 164% (en 2010) [8]
Taux de natalité : 26, 34 ‰ (en 2010) [8]
Taux de mortalité : 8, 53‰ (en 2010) [8]
Taux de mortalité infantile : 58, 33 ‰ (en 2010) [8]
Taux de fécondité : 2, 79 enfants/femme (en 2010) [8]
Taux de migration : inconnu (en 2010) [8]
Indépendance : 27 juin 1977 (ancienne colonie française)
Lignes de téléphone : 10 800 (en 2008) [8]
Téléphones portables : 44100 (en 2005) [8]
Postes de radio : 52 000 (en 1997)
Postes de télévision : 28 000 (en 1997)
Utilisateurs d'Internet : 13 000 (en 2008) [8]
Nombre de fournisseurs d'accès Internet : 1 (en 2000) ; ADSL (en 2006)
Routes : 3 065 km (dont 1 226 km goudronnés) (en 2000)
Réseaux de haute tension : 4 800 mètres (en 2004) [9]
Réseaux de moyenne tension : 244 844 mètres (en 2004) [9]
Réseaux de distribution : 331 227 mètres (en 2004) [9]
Réseaux d'éclairage public : 63 227 mètres (en 2004) [9]
Voies ferrées : 100 km
[8] Voies navigables : 0 km
Nombre d'aéroports : 13 (en 2010) [8]

Codes

Djibouti a pour codes :

Notes et références

  1. André Laudouze, Djibouti : nation-carrefour, KARTHALA, 1982, 231 p. (ISBN 286537050X) [lire en ligne], p.  34 
  2. Brunschwig (Henri), «Une colonie inutile : Obock», Cahiers d'Etudes Africaines, 1968, vol. 8/1, n° 29, pp. 32-47.
  3. 21//9/1884, ANOM, Traités 7.
  4. Bertin (Francine), «Les chefs Issas signataires des traités avec le gouvernement français», Pount, n° 12, 4e trimestre 1973, pp. 19-30. L'original du texte se trouve dans ANOM, Traités 7.
  5. Article du journal La nation n° 148 du jeudi 16 Octobre 2008
  6. La France renforce son aide militaire au gouvernement de Djibouti, Le Monde (AFP/AP), 14 juin 2008
  7. (fr) . La construction de cette base (qui débutera durant l'été 2010) devrait coûter 40 millions de dollars Piraterie : des soldats japonais s'installent à Djibouti, RFI, 25 avril 2010
  8. (en) The World Factbook, «Djibouti», CIA, 19 aout 2010. Consulté le 24 aout 2010
  9. Site web de l'électricité de Djibouti

Voir aussi

Liens externes


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