Érythrée

L'Érythrée, en forme longue l'État d'Érythrée ou la République d'Érythrée, en arabe Iritrīyā, ?????? et Dawlat Iritrīya, ???? ??????, en tigrinya Ertrā, ኤርትራ...


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Érythrée

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  • Pays d'Afrique orientale, l'Érythrée couvre le long de la mer Rouge..... 1952 L'Érythrée est fédérée à l'Éthiopie. 1962 Annexion de l'Érythrée par... (source : larousse)
ሃገረ ኤርትራ (ti)
???? ?????? (ar)
State of Eritrea (en)
État d'Érythrée (fr)
Drapeau de l'Érythrée Armoiries de l'Érythrée
(Drapeau de l'Érythrée) (Armoiries de l'Érythrée)
carte
Langues officielles Tigrinya, arabe,
anglais[1], [Note 1]
Capitale Asmara
15°20′N 38°55′E / 15.333, 38.91715°20′N 38°55′E / 15.333, 38.917
Asmara
Forme de l'État République
 - Président Issayas Afeworki
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 97e
121 320 km2
Négligeable
Population
 - Totale (2008)
 - Densité
Classé 114e
5 028 475 hab.
38 hab. /km2
Indépendance
 - Date
de l'Éthiopie
24 mai 1993
Gentilé Érythréen (ne)


IDH (2005) Augmentation 0, 454 (bas) (157e)
Monnaie Nakfa (ERN)
Fuseau horaire UTC +3
Hymne national
Domaine internet . er
Indicatif
téléphonique
+291
  1. le tigrinya et l'arabe sont les langues de travail du gouvernement. L'anglais est utilisé dans les relations internationales et l'éducation au-delà du primaire. Les différentes communautés du pays parlent aussi afar, bilen, kunama, nara, rashaida, saho et tigré. L'italien et l'amharique sont quelquefois parlés pour des raisons historiques.

L'Érythrée, en forme longue l'État d'Érythrée ou la République d'Érythrée, en arabe Iritrīyā, ?????? et Dawlat Iritrīya, ???? ??????, en tigrinya Ertrā, ኤርትራ et Hagere Ertrā, ሃገረ ኤርትራ, en anglais Eritrea et State of Eritrea, est un État indépendant de la Corne de l'Afrique voisin du Soudan à l'ouest , de l'Éthiopie au sud et de Djibouti à l'est . Il a acquis son indépendance de l'Éthiopie en 1993. Depuis, les deux pays se livrent une guerre sporadique. L'Érythrée doit son nom à Francesco Crispi[2], président du conseil italien, à partir de la racine grecque eruthros signifiant «rouge», probablement en référence à la Mer Rouge.

Histoire

Article détaillé : Histoire de l'Érythrée.

L'histoire connue de l'Érythrée est l'une des plus anciennes d'Afrique sub-saharienne et du monde. L'Érythrée est reconnue, avec l'Éthiopie et la côte du Soudan, comme le pays appelé Punt ou Ta Netjeru (Pays des Dieux) par les Égyptiens, dont la première mention remonte au XXVe siècle av. J. -C. La plus ancienne référence connue à la Mer d'Érythrée est attribuée à Eschyle (Fragment 67), qui la sert à désigner comme le bijou de l'Éthiopie[réf.  nécessaire] (Éthiopie désignait alors certainement la Nubie ou la partie de l'Afrique localisé au sud de l'Égypte généralement). Vers le VIIIe siècle av. J. -C., un royaume connu sous le nom de De mt s'établit au nord de l'Érythrée et de l'Éthiopie, avec Yeha comme capitale. Il fut suivi par le Royaume d'Aksoum, au Ier siècle av. J. -C.. Le Périple de la mer Érythrée, un document du IIe siècle précise qu'il existait en Afrique de l'Est une route commerciale qui reliait le monde romain à la Chine. Les peuples du centre de l'Érythrée et du nord de ce qui forme aujourd'hui l'Éthiopie partagent un héritage historique et culturel commun, issu du Royaume d'Aksoum et des dynasties qui ont suivi au long du Ier millénaire av. J. -C. et de la langue guèze. La culture swahilie, fortement marquée par le monde arabe, s'est elle développée sur la côte plus au sud a partir du kenya. [réf.  nécessaire]

Le tigrinya et l'amharique, langues officielles respectivement en Érythrée et en Éthiopie, dérivent de l'ancienne langue guèze. En outre, les Érythréens et les Éthiopiens ont particulièrement tôt partagé leur religion au sein de l'Église orthodoxe d'Éthiopie.

Géographie

Article détaillé : Géographie de l'Érythrée.
Carte de l'Érythrée
Champ de teff dans les hauts plateaux

L'Érythrée est localisée dans la Corne de l'Afrique et bordée au nord-est ainsi qu'à l'est par la mer Rouge, à l'ouest et au nord-ouest par le Soudan, au sud par l'Éthiopie et au sud-est par Djibouti. La côte est aride et sablonneuse. Les îles Dahlak localisées dans la mer Rouge forment une région intéressante pour la pêche. Les hauts plateaux du centre, dont l'altitude fluctue de 1 800 m à 3 000 m, sont moins arides et possèdent un climat plus tempéré. Le point culminant du pays est le mont Soira à 3 018 m au-dessus du niveau de la mer.

La capitale et plus grande ville du pays est Asmara ; les autres villes principales sont le port d'Assab mais aussi Massaua et Keren.

Subdivisions administratives

Article détaillé : Subdivisions de l'Érythrée.

L'Érythrée est divisée en 6 régions :

  • le Centre
  • Anseba
  • Mer Rouge méridionale
  • Mer Rouge septentrionale
  • le nord
  • Gash-Barka

Démographie

Article détaillé : Démographie de l'Érythrée.
Évolution de la population entre 1993 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005[réf.  nécessaire]). Population en milliers d'habitants.
Habitants d'Agordat

Les deux groupes ethniques principaux sont les Tigrinya qui forment 50 % de la population, mais aussi les Tigre et Kunama qui en forment 40 %. Les Afars et les Saho occupent le tiers du pays. Le tigrinya et l'arabe sont les deux langues principales ; l'italien et l'anglais sont aussi parlés.

Article détaillé : Religion en Érythrée.

Les religions principales sont le christianisme, la majorité des chrétiens érythréens faisant partie de l'Église érythréenne orthodoxe, une des églises (improprement) dites «coptes» (monophysites, et non grecques-orthodoxes), en communion avec ses homologues éthiopienne et égyptienne ; et l'islam, essentiellement sunnite. Chacune de ces religions est représentée par à peu près 50 % de la population[réf.  nécessaire].

Histoire

Article détaillé : Histoire de l'Érythrée.

Histoire ancienne

Les restes de l'homme de Buya ont été découverts dans le désert de Danakil en 1995. A cette époque, il y a un million d'années, il vivait dans une forêt près d'un grand fleuve. Il serait l'ancêtre des hominidés connus à partir de - 600 000 ans.

De la colonisation à l'indépendance

Article détaillé : Afrique orientale italienne.

Durant la seconde moitié du XIXe siècle, les puissances européennes colonisent la plus grande partie de l'Afrique. L'Italie entre assez tard dans la course à l'Afrique. Elle s'implante en Érythrée le 15 novembre 1869 quand la Società di Navigazione Rubattino achète la baie d'Assab au sultan local[3], [4]. Le 5 juillet 1882, le gouvernement italien prend le contrôle du port d'Assab par décret[5], puis 3 ans plus tard, du port de Massoua et couvre vers l'intérieur[3]. La colonie d'Érythrée est constituée le 1er janvier 1890[5].

Les Britanniques envahissent l'Érythrée le 18 janvier 1941, jour de la prise de Kassala à la frontière avec le Soudan[6], [7]. La direction des opérations est assurée par le lieutenant général William Platt[6], commandant des forces britanniques au Soudan[8]. Les 4e et 5e divisions d'infanterie indiennes, commandées respectivement par les major généraux Nœl Beresford-Peirse[6] et Lewis Heath[8], progressent durant les deux semaines suivantes en direction de la ville fortifiée d'Agordat. La 4e division indienne prend la route septentrionale par Sabderat, Keru et Agordat et la 5e division indienne la route méridionale par Tessenei et Barentu[6]. Elles parcourent 160 km en 9 jours et enlèvent successivement plusieurs villes aux Italiens. Elles percent les positions italiennes dans les collines et prennent Agordat le 1er février[9], [6] après 2 jours de combat (4e division) et Barentu le lendemain (5e division) [6].

La bataille décisive de la campagne a lieu à Keren, ville à 100 kilomètres à l'est d'Agordat[10]. La bataille de Keren marque un tournant de la conquête de l'Érythrée et de l'Éthiopie par les Britanniques[11]. Après cet affrontement, la résistance des troupes italiennes est bien plus faible[11]. Selon Pierre Messmer, ces derniers estiment ne plus être en mesure de remporter la victoire sur ce théâtre d'opérations et la capitulation de leurs unités est généralement rapide[11].

La 5e division indienne se dirige ensuite vers la capitale Asmara, à 80 kilomètres à l'est de Keren[12], alors que la 4e division indienne reste à Keren quelques jours et retourne en Égypte début avril[13]. Asmara est déclarée ville ouverte et les troupes britanniques s'en emparent le 1er avril[12]. Trois jours plus tard, la 10e brigade indienne se dirige vers Massaoua localisée à une centaine de kilomètres d'Asmara, sur la côte[14]. Les Italiens disposent de 10 000 hommes[14], de tanks et de véhicules blindés pour défendre Massaoua, un objectif portuaire stratégique[11], [15]. Après quelques affrontements initiaux, la résistance s'effondre et les unités indiennes et la Brigade française d'Orient prennent Massaoua le 8 avril[14]. Les Britanniques administrent alors l'Érythrée.

En 1952, les Nations unies décident de former une fédération entre l'Éthiopie et l'Érythrée. Quand des manifestations indépendantistes éclatent, Addis-Abeba abolit le fédéralisme en 1961 pour tenter de préserver l'unité du pays, déclenchant une guerre civile qui s'achève en 1991 par la victoire des troupes érythréennes. L'indépendance est déclarée le 24 mai 1993.

L'État Érythréen

La constitution érythréenne prévoit un parlement monocaméral de 150 membres, l'Assemblée nationale. L'ensemble des sièges sont occupés par le principal parti politique, le Front populaire pour la démocratie et la justice. Depuis 1993, date de l'indépendance, des élections ont été régulièrement prévues puis annulées[réf.  nécessaire].

Politique

Article détaillé : Politique de l'Érythrée.

Le gouvernement a deux objectifs prioritaires : mettre en place sur les versants montagneux, entre Asmara (la capitale) et Massaoua 40 000 km² de terrasses cultivables et , pour fixer les eaux, planter vingt millions d'arbres ; en particulier, garder sur la mer Rouge le contrôle du port d'Assab, afin d'encaisser les revenus de sa raffinerie de pétrole. [réf.  nécessaire]

En 2001, le gouvernement a censuré toute la presse privée[16]. En 2002, l'ensemble des groupes religieux ont été interdits à l'exception de 4 groupes sanctionnés par l'État[réf.  nécessaire].

Amnesty International, Human Rights Watch mais aussi le Département d'État américain font état de détentions arbitraires et de violations des droits humains dans le pays[réf.  nécessaire]. Les 7e, 8e, 9e et 10e classements mondiaux de la liberté de la presse - établis en 2008, 2009, 2010 et 2011 par Reporters sans frontières - classent l'Érythrée en dernière position[17], [18], [19], [20].

En 1998 une nouvelle guerre éclate entre l'Éthiopie et l'Érythrée sur le tracé de la frontière. Elle fait à peu près 100 000 morts[21]. Le conflit cesse en 2000 avec les accords d'Alger qui amènent au déploiement des casques bleus sans mettre fin aux tensions, le tracé de la frontière entre les deux États restant contesté par l'Éthiopie. Une commission indépendante de l'ONU a émis un arbitrage sur la question de la frontière en 2003, mais cette solution a été rejetée par l'Éthiopie[réf.  nécessaire].

L'Érythrée livre désormais à l'Éthiopie une guerre par procuration en Somalie, où elle compte parmi les principaux soutiens aux insurgés islamistes qui combattent l'armée éthiopienne[22].

Un récent différend territorial oppose d'autre part l'Érythrée à Djibouti sur sa frontière sud[réf.  nécessaire].

Économie

Article détaillé : Économie de l'Érythrée.

L'économie de l'Érythrée est celle d'un pays chroniquement sous-développé, évoluant sous un dispositif d'économie mixte.

La guerre avec l'Éthiopie a été dévastatrice pour l'économie érythréenne. Port de la mer Rouge, Massaoua est tombé aux mains des maquisards érythréens dès février 1990. Les Éthiopiens ont alors pilonné la ville pendant cinq jours, ravageant des bâtiments datant de la colonie italienne (1889-1941). Les transports urbains sont chaotiques. Le port accueille des cargos chargés de blé australien, de sorgho américain ou d'huile de colza allemande.

Sycomore géant ayant servi de modèle pour le billet de 5 nakfas érythréens

L'offensive de mai 2000 causa à elle seule 600M US de dommages et empêcha les récoltes dans la région la plus productrice du pays, diminuant la production de nourriture de 62 %[réf.  nécessaire].

Les transferts de fonds en provenance de la diaspora des Érythréens émigrés est la principale source de revenu du pays[réf.  nécessaire]. L'agriculture apporte 80% du produit intérieur brut. Le pays exporte du bétail, de la viande et de la gomme arabique. L'infrastructure est assez développée, surtout les routes et les ports, mais ils sont sous-utilisés. [réf.  nécessaire]

Pour se développer, l'Érythrée compte sur ses ressources inexploitées : cuivre, or, pétrole et gaz.

La monnaie nationale est le nakfa érythréen.

Culture

Alicha begee, un plat érythréen typique
Article détaillé : Culture de l'Érythrée.
Fêtes et jours fériés
Date traduction française Nom Remarques
24 mai jour de l'indépendance beal natsnet
20 juin jour des martyrs mealti meswat
1er septembre début de la lutte armée hade meskerem

Éducation

Énormément d'enfants en âge d'être scolarisés ne peuvent étudier[23]. L'accès à l'éducation est d'autre part lié au sexe[23]. L'analphabétisme est par conséquent fréquent[23].

Santé

Espérance de vie des hommes : 54 ans (en 2001)
Espérance de vie des femmes : 59 ans (en 2001)
Taux de croissance de la pop.  : 3, 84 % (en 2001)
Taux de natalité : 42, 52 ‰ (en 2001)
Taux de mortalité : 12, 07 ‰ (en 2001)
Taux de mortalité infantile : 74 ‰ (en 2001)
Taux de fécondité : 5, 45 enfants/femme (en 2003)

Divers

Population : 4 465 651 habitants (en 2003). 0-14 ans : 44, 7 %; 15-64 ans : 52 %; + 65 ans : 3 %
Superficie : 121 320 km²
Densité : 37 hab. /km²
Frontières terrestres : 1 630 km (Éthiopie 912 km ; Soudan 605 km ; Djibouti 113 km)
Littoral : 2 234 km
Extrémités d'altitude : -75 m > +3 018 m
Taux de migration : 7, 91 ‰ (en 2001)
Indépendance : 24 mai 1993 (faisait jusque là partie de l'Éthiopie)
Lignes de téléphone : 37 500 (en 2006)
Téléphones portables : 70 000 (en 2007)
Postes de radio : 345 000 (en 1997)
Postes de télévision : 1 000 000 (en 2003)
Utilisateurs d'Internet : 120 000 (en 2007)
Nombre de fournisseurs d'accès Internet : 1 (en 2004)
Routes : 4 010 km (dont 874 km goudronnés) (en 2000)
Voies ferrées : 306 km (en 2006)
Voies navigables : 0 km
Nombre d'aéroports : 18 (dont 4 avec des pistes goudronnées) (en 2007)

Code

L'Érythrée a pour codes :

Notes et références

  1. Chroniques yéménites, «Les langues en Érythrée». Consulté le 18 juillet 2010
  2. Le Houérou Fabienne, «» sur Persée, septembre 1999. Consulté le 1 mars 2010
  3. Lionel Cliffe & Basil Davidson, The Long Struggle of Eritrea for Independence and Constructive Peace, p. 16.
  4. Ghada Hashem Talhami, Suakin and Massawa Under Egyptian Rule, 1865-1885, p. 198.
  5. (en) «Eritrea», dans Encyclopædia Britannica, 1911 [lire en ligne]
  6. Brett-James, Anthony, Ball of fire - The Fifth Indian Division in the Second World War, Chp. 3
  7. (en) [pdf]Account of Operations in East Africa by Gen. Platt published in the London Gazette
  8. Brett-James, Anthony, Ball of fire - The Fifth Indian Division in the Second World War, Chp. 1
  9. Compton Mackenzie, Eastern Epic, p. 44-49.
  10. Compton Mackenzie, Eastern Epic, p. 52-64.
  11. Entretien de Pierre Messmer avec Alain Leterrier, Paul-Alain Prigent et Mohamed Abdelmajid, réalisé à Paris le 9 octobre 1997 sur lesnouvelles. org
  12. Brett-James, Anthony, Ball of fire - The Fifth Indian Division in the Second World War, Chp. 6
  13. Wavell, Archibald, Official despatch : Operations in East Africa November 1940 - July 1941, p. 3545.
  14. Brett-James, Anthony, Ball of fire - The Fifth Indian Division in the Second World War, Chp. 7
  15. Compton Mackenzie, Eastern Epic, p. 66.
  16. Réseau africain pour la presse du 21ème siècle. Newsletter n°58 du 22/03/2002
  17. Reporters sans frontières Classement mondial 2008, Reporters sans frontières, Classement mondial 2008.
  18. Reporters sans Frontières : Classement mondial 2009
  19. Reporters sans frontières Classement mondial 2010
  20. Reporters sans frontières Classement mondial 2011, Reporters sans frontières, Classement mondial 2011.
  21. Jean-Philippe Rémy, «Djihadisme et vieux conflits», dans Le Monde du 03-11-2007, [lire en ligne]
  22. (en) AU calls for sanctions on Eritrea, BBC News, 23 mai 2009.
  23. http ://lcweb2. loc. gov/frd/cs/profiles/Eritrea. pdf

Voir aussi

Catégorie Érythrée de l'annuaire dmoz

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